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For the Collector, Photobooks Ed Templeton, ADVENTURES IN THE NEARBY FAR AWAY

Ed Templeton (né en 1972) est un skateboarder professionnel californien de renommée internationale qui a fondé sa propre compagnie de skateboard nommée Toy Machine. Il est aussi un artiste connu pour ses peintures, ses portraits et des photographies de scènes de rue. Il a publié plusieurs livres sur la jeunesse ou qui documentent sa vie quotidienne et ses déplacements dans des publications telles que Teenage Kissers, Teenage Smokers, The Seconds Pass, Deformer, et bien plus encore… Ce nouveau livre est présenté dans une couverture enveloppant la moitié du livre, les pages forment un accordéon et couvrent 8,40 mètres de longueur lorsque déplié, présentant un collage impressionnant réalisé par Templeton. Les images sont imprimées en recto-verso. Édition de 1000 exemplaires.

26 miles across the Pacific Ocean from the tangled mess of humanity that is Los Angeles and Orange County sits an island paradise called Santa Catalina where time has stood still and visitors can experience what California was like before the Europeans sailed in. Adventures in the Nearby Far Away is a photographic diary of my many visits to the island over the years, a place I have been visiting since I was a boy, and been documenting photographically since the late 90¹s. All photos are shot on film. – Ed Templeton

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La chapelle de Massimo Vitali par Patrick Rémy De cette église classée datant du XIVe siècle, le photographe Massimo Vitali a fait sa maison. Un loft s’inscrivant dans un écrin patiné par les ans. Visite guidée au fil des photos signées par le maître lui-même.

De cette église classée datant du XIVe siècle, le photographe Massimo Vitali a fait sa maison. Un loft s’inscrivant dans un écrin patiné par les ans. Visite guidée au fil des photos signées par le maître lui-même.

Massimo Vitali est un homme patient. Quand il photographie une plage en plein soleil, il peut rester des heures sur sa plateforme de trois mètres de haut avec sa chambre photographique à portée de main, pour trouver le bon angle, non pas l’instant décisif cher à Henri Cartier-Bresson, mais plutôt le petit «  truc  » qui fera la différence  ! Pour sa maison, il a attendu plus de dix-sept ans  ! Né à Bologne, Massimo Vitali, au gré de sa profession – il a été reporter et chef opérateur à Cinecitta –, a eu plusieurs maisons, mais l’appel de la campagne s’est fait sentir quand Annette Klein, son épouse allemande et, à la ville, historienne du bijou, attendait leur enfant.
Ils se sont donc décidés pour la charmante ville de Lucques, en pleine Toscane… et pas trop loin des plages qu’il a commencé à photographier il y a tout juste vingt ans. En visitant la ville, Massimo Vitali a tout de suite craqué pour une église du XIVe siècle, fondée par la Compagnie de la Croix puis transformée, entre autres, en entrepôt de matériel de plomberie. . Les propriétaires étaient prêts à la céder… mais pour une fortune. Après dix-sept années de persévérance, sous la menace du toit qui menaçait de s’effondrer, le photographe a enfin pu en faire l’acquisition.

Après une inspection au peigne fin par des archéologues, les travaux de rénovation ont commencé, menés par les architectes Paula Sousa et Paolo Sabatini Bertoncini, et ont duré… plus de dix-huit mois. En effet, en Italie, les églises abandonnées et désacralisées sont courantes mais la loi interdit d’y ériger de nouveaux murs et d’en casser la structure. Il fallut donc monter une ossature suspendue pour les chambres, la salle de bains et la bibliothèque.
«  J’aime les grands espaces et les points de vue élevés. La grandeur est perceptible, pas le vide  », s’exclame Massimo Vitali. C’est pour cela que les murs sont restés en l’état et font apparaître, après grattage et nettoyage, ici des briques, là des fresques ou, dans la chambre d’Otto, la voûte gris bleu – «  la couleur du ciel après le coucher de soleil  », dixit le maître de maison. Dans la chambre du couple, c’est un slogan «  militaire  » qui apparaît  : «   Croire. Obéir. Combattre   », souvenir du temps où la chapelle était utilisée comme salle de boxe par les Jeunesses fascistes. Sur les murs, ne cherchez pas une photo de Massimo Vitali. Pas de plages, de piscines et autres night-clubs qui ont fait son succès (son travail est entreposé dans son studio tout proche)… mais plutôt des œuvres classiques   : un ange de Tiepolo ou de l’un de ses disciples, un portrait allemand du XIXe trouvé sur eBay, une statue en céramique de Pietro Melandri, cadeau de mariage de monsieur Vitali père à la mère de l’artiste.

Les meubles, comme le vaisselier ou un buffet dans la chambre, viennent directement de l’atelier de son grand-père ; les chaises ou le sofa Sherazade de Francesco Binfaré ont été achetés, eux, directement à l’usine de l’éditeur Edra de Perignano, à quelques kilomètres de là ; et l’immense table de la salle à manger avec son plateau en châtaignier a été réalisée par le photographe lui-même. Côté éclairage, la pièce principale profite de la lumière naturelle que procurent les fenêtres situées dix mètres plus haut, à laquelle a été ajouté un dispositif aux leds réalisé par la designer polonaise Rada Markovic.
Le dernier chantier en date reste la transformation du  parking goudronné en éden luxuriant. Massimo Vitali s’est ainsi trouvé une autre passion,  plantant orangers, mandariniers et citronniers. Pendant que les arbres poussent, l’artiste, qui a, on peut le dire, un travail saisonnier – ne travaillant que sur des plages estivales, remplies de vacanciers –, a passé l’été à photographier celles de Sicile et de Sardaigne, puis s’est envolé en repérage vers la Colombie et… ses plages !

PAR PATRICK REMY

HERE THE LINK: http://www.admagazine.fr/decoration/visite-deco/diaporama/le-loft-et-la-chapelle/24019#le-loft-et-la-chapelle#K5RRBp5WrjmIKBgE.01

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Article: Photonews zeitunf für fotografie Bachelor-Arbeit von Kristin Trüb “Letzte Generation Ost”

Bachelor-Arbeit von Kristin Trüb  Für die 8. Folge unserer Hochschulreihe unter dem Motto »Es bleibt spannend« hat Andreas Langfeld Kristin Trüb interviewt, die ihr Fotografie-Studium an der Fachhochschule Dortmund mit der Arbeit »Letzte Generation Ost« abschloss. Ergänzend zum Beitrag in der PHOTONEWS Ausgabe Dezember 2015 – Januar 2016 zeigen wir hier weitere Bilder der Arbeit. Klicken Sie auf ein Bild und Sie können die Bilder im größeren Format betrachten.

Here the link: http://www.photonews.de/aktuelles/bachelor-arbeit-von-kristin-trueb/

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“Letzte Generation Ost” by the East German artist Kristin Trüb, limited edition 500 copies + signed C print

The narrative book « Letzte Generation Ost » deals with various lifes of a generation who were born in the final years of the GDR. Central place in the photographic exploration of the different biographies was the housing area in Hagenow in east Germany where the photographer and their protagonists were growing up together.
Their families corresponded to the propagandized principles, they received socialist education in their early years and lived in the typical tower blocks in Hagenow. Naturally, since the collapse of the former GDR, much has changed. Interviews with nine selected representatives of that generation as well as portraits and various photographs create an impression of the memories
and experiences of the last generation east.

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Himmelstrasse par Brian Griffin, le livre de la semaine Livres, Photographie chez les branchouilles.com

En mai 1942, Sobibor est devenu pleinement opérationnel et a commencé les opérations de gazage massif. Himmelstrasse (« la route du paradis ») était une plaisanterie cynique nazie utilisée pour décrire le voyage final vers les chambres à gaz.

Brian Griffin a documenté les voies ferrées en Pologne qui transportaient environ trois millions de prisonniers de toute l’Europe dans les camps d’extermination nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. De la voie ferrée menant au Front de l’Est militaire quartier général d’Hitler à Tanière du Loup, au système ferroviaire d’ État menant aux camps de Belzec, Chelmno, Sobibor et Treblinka Stutthof. Les paysages envoûtants de Griffin sont un voyage photographique émotionnelle et personnelle qui représente la brutalité implacable et l’inhumanité de l’Holocauste.

*

In May 1942, Sobibor became fully operational and began mass gassing operations. Himmelstrasse (Heaven Street) was a cynical Nazi joke used to describe the final journey to the gas chambers.

Brian Griffin has documented the railway tracks in Poland that transported approximately three million prisoners from around Europe to the Nazi extermination camps during WWII. From the railway leading to Hitler’s Eastern Front military headquarters at the Wolf’s Lair, to the State Rail System leading to the camps of Belzec, Chelmno, Sobibor, Stutthof and Treblinka. Griffin’s haunting landscapes are an emotional and personal photographic journey that represents the relentless brutality and inhumanity of the Holocaust.

Brian Griffin est un photographe britannique surtout connu comme portraitiste et pour son travail dans l’industrie musicale (pochettes de disques et vidéos), pochettes des albums du groupe britannique Depeche Mode (Speak & SpellA Broken FrameConstruction Time AgainSome Great Reward et Black Celebration), des photos et des vidéos pour Siouxsie and the BansheesElvis CostelloIggy PopRingo StarrPaul Mc Cartney Peter GabrielR.E.M.Kate BushSimple MindsJoe JacksonBilly IdolThe Psychedelic FursKing Sunny AdeEcho and the Bunnymen, Sly ‘n’ Robbie, Panasonic et Pan Sonic, Tindersticks, Mogwai) et pour la presse The Sunday Times MagazineThe FaceTime OutThe Observer MagazineL’Uomo Vogue.

Quelques expositions:

  • 1978, Portraits of Our Time, The Photographers’ Gallery, Londres.
  • 1984, Brian Griffin, Olympus Gallery, Tokyo.
  • 1987, Brian Griffin, portraitiste londonien, Rencontres d’Arles.
  • 1988, WORK, National Portrait Gallery, Londres; Impressions Gallery, York; Tate, Liverpool; Norwich Arts Centre; Brewery Arts Centre, Kendal; Visage Gallery, Chester.
  • The Water People, Gallerí 100°, Reykjavik, 04/03/2006 à 04/04/2006.
  • Collectif, Les troubles du cadre, Galerie du Château d’eau, Toulouse, 17/05/2006 à 25/06/2006.
  • The water people, [space], Londres, 27/10/2007 à 15/12/2007.
  • Teamphoto et The water people, 40 ans de ruptures, Rencontres d’Arles, 2009.
  • Olympic Games The Road to 2012, National Portrait Gallery, Londres, 2009.
  • Face to face, a retrospective, City of Birmingham, 30/09 au 21/11/2010.
  • The Black Country, New Art Gallery, Walsall, 08/04 au 18/06/2011; Collège des Bernardins, Paris, 19/11/2010 au 23/11/2011.
  • Collectif, Right here, right now, Galerie Quad, Festival Format 2011, Derby. Anime un workshop.
  • Retour à quai, dans l’exposition Méditerranées, 12/01 au 18/05, Marseille-Provence 2013.
  • Annual Report 1974-2013, du 3 au 20/10/2013, Foto/Industria Biennale 01, Bologne, Italie.

Victoria and Albert Museum, London. Arts Council of Great Britain, London. British Council, London. West Midlands Arts. Stills gallery, Edinburgh. National Portrait Gallery , London. City Museum, Braga, Portugal. Museum Folkwang, Essen, Allemagne. Birmingham Museum and Art Gallery, Birmingham. Art Museum Reykjavik, Islande. Baugur Group)

Publications

  • 1978 : Brian Griffin Copyright (auto-publié)
  • 1981 : Power (Travelling Light)
  • 1983 : Y (journal auto-publié, graphisme Barney Bubbles)
  • 1983 : Auras (Olympus Gallery)
  • 1984 : Power, en poche (Travelling Light)
  • 1986 : Open, (auto-publié)
  • 1987 : Portraits (auto-publié)
  • 1988 : Portraits, seconde édition (auto-publié)
  • 1989 : Work (auto-publié)
  • 2000 : Film Stills (auto-publié)
  • 2005 : Brian Griffin Influences (auto-publié)
  • 2006 : The Water People (Island)
  • 2006 : Baugur The Movie (Baugur)
  • 2007 : Teamphoto (LCR)
  • 2012 : Business as Usual (Éditions Bessard)
  • 2013 : The Black Kingdom (Dewi Lewis Publishing)
  • HERE THE LINK: http://lesbranchouilles.com/photographie/himmelstrasse-par-brian-griffin-le-livre-de-la-semaine/
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“Letzte Generation Ost” geschrieben durch Kristin trüb from Dortmund’s University

Das narrative Buch « Letzte Generation Ost » beleuchtet verschiedene Lebensläufe einer Generation, die wenige Jahre vor dem Fall der Mauer in der ehemaligen DDR geboren wurden. Zentraler Schauplatz in der fotografischen Auseinandersetzung mit den unterschiedlichen Biografien, ist die Plattenbausiedlung in Hagenow in der die Fotografin und ihre Protagonisten gemeinsam aufwuchsen. Ihre Familien entsprachen dem propagierten Leitbild, sie erhielten eine sozialistische frühkindliche Erziehung und wohnten in einer durchschnittlichen Plattenbausiedlung in Hagenow. Nach der Wende hat sich viel verändert. Interviews, Portraits und Fotografien aus ihrer Plattenbausiedlung verdichten sich zu einem Gesamteindruck ihrer Erinnerungen.

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Par le professeur Michel Costagutto : OUI ce Livre Envoûtant tortueux floral magique inquiet étrange est un beau voyage; les Éditions Bessard ne publient que des livres qui sont des objets raffinés

Oui ce Livre Envoûtant tortueux floral magique inquiet étrange est un beau voyage; les Éditions Bessard ne publient que des livres qui sont des objets raffinés et admirable, la technologie discrètement le choix des somptueux et rares papiers et des tirages travaillés jusqu’à la perfection artistique et le rendu voulu de l’image : Pierre Bessard est un éditeur passionné qui ne traite que des sujets ultra contemporains aigus transgressant; l ‘excentricité d’un Maître Éditeur zen qui crée son nouveau classicisme quand jouit le regard dans la rencontre du monde fou et emballé qui est le notre; Les livres de Pierre Bessard transmettent le virus du goût de la Beauté; Chaque ouvrage est une cérémonie du thé: vulgaires exclus; dans les livres des Éditions Bessard l’aristocratie respire et l’œil et le toucher finement se décalent; imperceptiblement et notre sensibilité se décale et nous sommes ici et maintenant sur la planète emballée du retour de l’Histoire; le regardeur lecteur des opus publiés par Bessard pense parce que son regard a cillé-le temps des images est le nôtre comme la pensée qui se déroule fût-elle chaotique mais la photographie est là pour décaler le monde, le basculer parce que le grand art penche légèrement; voilà de quoi faire des cadeaux de Noël; le contraire de la barbarie étant la curiosité augmentons notre finesse et notre raffinement.

Nouvelle collection BeSpoke, un tirage original maniaquement superbe et signé par l’artiste pour des prix démocratiques; soyons élitistes pour tous à commencer par nous-mêmes.

Michel Costagutto

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Photo London announces its return next year, 19-22 May 2o16. Written by Brennavan Sritharan on British Journal Photography

Photo London announces next year’s edition, naming Don McCullin as Master of Photography

After the success of its inaugural edition earlier this year, Photo London has announced its return in 2016, putting on a week-long celebration of photography taking in city-wide exhibitions, installations and talks from the 19th to the 22nd May next year.

Produced by Candlestar, the company behind the Prix Pictet and numerous other curatorial-based enterprises, this year Photo London housed more than 70 galleries at Somerset House. As Michael Benson, co-director of Candlestar and co-founder of Photo London alongside Fariba Farshad, told us, the fair has whet the city’s appetite for photography.

“Next year we’ve extended to include 80 galleries – we have been so inundated with applications that we’ve even had to create a temporary structure in the courtyard.” Exhibitors include Flowers Gallery, Galerie Polaris and TJ Boulting, with top photography galleries showing alongside a ‘Discovery’ section for emerging galleries.

Work shown also includes a site-specific commission by London artists Walter and Zoniel, a series of works by Turner Prize-winning artist and photographer Craigie Horsfield and an exhibition of work loaned from the Moscow Multimedia Art Museum. They also hope to attract non-buyers with a series of talks with participants like Chloe Dewe Mathews, Nadav Kander, David Maisel and Martin Parr.

The work of Don McCullin will receive special attention; he was named as the Photo London Master of Photography 2016 in recognition of his iconic career. “Every year we recognise someone who, over many years, has achieved extraordinary things in photography; last year our inaugural award was given to Sebastião Salgado,” Benson explained. “It’s a real tribute to a person whose sustained genius has been evident for many decades.” A special exhibition of his work will be presented at Somerset House, and he will also be speaking with Tate Photography Curator Simon Baker in conversation open to the public.

At last Friday’s press announcement, McCullin spoke with multi-disciplinary artist Isaac Julien about his career and the changing role of contemporary photography. He touched on his dislike of digital imagery (“it looks as if someone has tried to redesign a chocolate box”) and the changing discourse around taking pictures in public: “Things are different now. None of us have the right to photograph without permission, I know that… but of course we have the most surveillance cameras in Western Europe.”

The fair marks a concerted effort to drag London to the centre of the photography conversation, and as Benson tells us, this time, it could stick: “I think London has got photography, for the first time in an awfully long time. We’ve noticed a huge grass roots enthusiasm for photography, I think London has woken up to the fact that it didn’t really take photography as seriously as it might’ve done.

“People have began to think seriously about the collecting of photography, for a few reasons. Contemporary art collectors reached the end of a particular road and are changing their habits, the major museums had a big part to play in this, from appointing people like Simon Baker, to the redevelopment of The Photographers’ Gallery.” Benson hopes to tap into this institutional resurgence – museums such as the Barbican, the National Portrait Gallery and the V&A will be hosting photography exhibitions that May. 

“Photography is so clearly the keystone of our age that it isn’t really surprising that people are taking it seriously as an art form. It’s a very accessible art form too, almost anyone can get into it and it’s sharable. Being the kind of city London is, one of the world’s great cultural capitals, perhaps the world’s leading cultural capital, it’s a bit of a shame we didn’t take photography seriously a bit sooner. But it’s catching up now and I hope we’ve done our bit to help that happen.”

HERE the Link: http://www.bjp-online.com/2015/11/photo-london-announces-its-return-next-year/

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Actualités & Nouveautés des ÉDITIONS BESSARD Maison d’édition d’art photographique

Actualités & Nouveautés

des  ÉDITIONS BESSARD

Maison d’édition d’art photographique

5 grandes nouveautés

La créativité, l’exception, l’audace, la passion

Nouveau site / ouverture d’une galerie WEB

Nouvelle collection « BeSpoke » / Ouverture d’une résidence d’artistes

à Beijing en partenariat avec l’hôtel le plus luxueux de Chine Le Rosewood,

et, sortie de nouveaux ouvrages « les filles Les Filles de Tourgueniev  » par Philippe Herbet

« Adventures in the Nearby Far Away » par Ed Templeton, le dernier Zine Collection N°27de l’Allemand Uwe Bedenbecker qui terminera la Collection, « Letzte Generation Ost » par Kristin Trüb

Des nouveautés toujours….

Le lancement du nouveau site editionsbessard.com et l’ouverture de la galerie WEB

–          Un site simple, élégant pour découvrir  toutes les nouveautés et les collections (la collection d’exception, limitée ou d’artistes,  la Zine Collection,…)

–          Un  site accessible pour faciliter l’interactivité et l’achat en ligne

–          Une galerie web pour promouvoir  la création artistique

Près de 40 artistes déjà présentés  (des jeunes talents, des artistes de renom  …), œuvres d’art exposés à des prix abordables.

https://editionsbessard.com/

De l’audace encore …

En partenariat avec  l’Hôtel Rosewood , les éditions Bessard ouvre la 1ère résidence d’artistes située  à Beijing. Un lieu, un espace, une résidence pour créer de nouveaux  projets et de nouveaux ouvrages : accueillir des photographes, leur donner du temps, de la liberté pour qu’ils puissent s’exprimer,  explorer en images Beijing !

C’est le  photographe sud-africain Pieter Hugo, qui inaugure au mois de septembre cette résidence. Son travail réalisé fera l’objet d’un nouveau concept de livre publié par les Éditions Bessard  

De la création plus que jamais…

Après le succès de la Zine collection, la collection Bespoke est innovée !

A la recherche de l’excellence, du beau, les Éditions Bessard  travaille sans relâche à la création de nouveaux codes, de nouveaux concepts avec la volonté aussi de faire du livre de photographie un livre d’artiste.

Bespoke , son nouveau concept : In Hoc Libra Vinces + nouveau logo, le dragon tenant le B de BeSpoke ou de Book …, une référence au terme utilisé par les tailleurs, du sur mesure, au plus près du corps, comme une seconde peau…

24 pages, hard cover, plus un tirage signé par l’artiste

Le N°1 de la collection , l’artiste français Éric Rondepierre …

ET aussi , la sortie des ouvrages

«  Les Filles de Tourguéniev » du photographe belge Philippe Herbet.  Limited edition of 500 copies with a signed C-print prix 46€ et une artiste édition limité a 25 copies avec un grand tirage de 23cm x 23 cm signé et numéroté par Philippe Herbet Prix 46€

« Adventures in the Nearby Far Away » par  ed templeton, livre accordéon de 8,40 mètres de long, édition limité a 1000 copies ( Ne reste plus que 155 copies à ce jour) Prix 75€

«  Letze generation Ost » par Kristin Trüb, édition limité de 500 copies dans un emboitage élégant avec un tirage signé de l’auteur, prix 75€, livre complexe réalisé à la main…

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