New Visions of Chinese photography at the Museu Noguira da Silva with Ren Hang and 223 and me Power and Illusion Encontros da Imagen.
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Walking in the street Encontros da imagem 2015, Braga photo festival in Portugal.
Religious city, chemin de Compostel… Happy to see my exhibition: New Visions of Chinese photography at the Museu Noguira da Silva with Éditions Bessard
Just arrive at my Hotel in Braga Portugal for the Photo Festival Encontros Da Imagem.
Hope to see you. New Visions of Chinese photography at the Museu Noguira da Silva. Very chic! Next pictures
On my way to Braga photo festival in Portugal. Encontros da imagem 2015.
Hope to see you. New Visions of Chinese photography at the Museu Noguira da Silva.
Wang Qingsong’s First UK Retrospective at Beetles+Huxley BY Darryl Wee
Opening on September 22 at Beetles+Huxley is the veteran Chinese artist Wang Qingsong’s first retrospective exhibition in the UK, consisting of 11 large-scale photographic works that embody Wang’s signature spectacular style.
Born in China’s industrial northeast in 1966, the same year that the Cultural Revolution began, Wang Qingsong has built a career that deftly mirrors the rise of contemporary China and its turbulent social shifts and changes. Known for the massive scale, minutely conceived choreography, and enigmatic symbolism of his images, Wang has repeatedly even said that he does not view himself as a photographer or artist, but rather as a journalist who works with photography to record the incredible pace of change in China.
In his best works, Wang succeeds in balancing a certain social documentary charge with a liberal dose of fiction making that amplifies the force of his message. “MOMA” (2005), for instance, takes a detached, impassive look at comparative cultural aesthetics between China and the West. A live painting session of Matisse’s dance is being staged, but the audience has been expanded to include not just the artists, but also the camera-toting spectators eager to record the scene — Wang’s wry commentary on the contemporary penchant for self-aware meta-spectatorship.
In other works, Wang tends towards a more straightforward, magic-realist allegory. “Requesting Buddha No. 1” (1999) is a whimsical self-portrait of Wang as a many-armed Buddhist deity clutching all manner of consumer goods, a succinct depiction of the reality of contemporary Chinese society today.
Striking a notable contrast to Wang’s monumental stagings is the far more restrained piece “Red Peony, White Peony and Frosted Peony” (2003), a triptych that portrays flowers made out of meat in a skilled imitation of Chinese ink paintings on pastoral subjects — a rendition of themes close to Wang’s own personal interests: “these meat flower pieces are straight from my own heart.”
Wang was last seen earlier this April co-curating the first Changjiang International Photography & Video Biennale in Chongqing, Sichuan Province, together with Francois Hebel and Alejandro Castellote. The inaugural Biennale gathered together some 250 mostly unknown Chinese artists that offer visitors a selective portrait of artistic production in the outlying margins of a country that tends to center its attention only on coastal cities like Beijing and Shanghai.
Wang Qingsong’s exhibition runs at Beetles+Huxley from September 22 through October 24, 2015.
– See more at: http://encn.blouinartinfo.com/news/story/1231761/wang-qingsongs-first-uk-retrospective-at-beetleshuxley#sthash.qKtDTiXQ.dpuf
Éric Rondepierre dans son appartement parisien signe les tirages c Print pour le 1er Numéro de la BeSpoke Collection
Limited edition of 250 copies with an 15,3 x 18,5 cm C Print signed by the author. Hard cover, size 210mm x 280mm, on printing!
L’empreinte du temps
Le cinéma est né en 1895. En 2015, son dispositif original n’est plus parmi nous, ainsi va le monde, une technique meurt, une autre apparaît : « la mort assurément est la jeunesse du monde »[1]. Ma recherche prend place dans un moment de transition puisque je commence mon travail sur le cinéma en 1990 et que je commence à le montrer en 1992. C’est en 1993, à Washington (USA), que j’initie une série de photographies montrant des photogrammes de film corrodées par le temps, les conditions de stockage. Deux ans après je les expose au MoMA de New-York. Depuis lors, je visionne des films dans les cinémathèques occidentales et les collections privées, prélève des images « décomposées » sans les retoucher. Je choisis celles, rares et improbables, où l’empreinte du temps dialogue avec l’image de telle façon qu’il devient parfois difficile de savoir où s’arrête l’image proprement dite et où commence le travail de sa destruction. Jean Cocteau disait que le cinéma filmait « la mort au travail ». Il m’a paru intéressant de repérer ce travail de la mort au sein même du medium, dans la couche matérielle et invisible qui nous permet d’y avoir accès : la pellicule. C’est avec une longue patience que j’ai été conduit à parcourir le cinéma en tout sens (voir un long-métrage image par image prend 15 jours à raison de 8h/Jour), à réfléchir sur la précarité des archives de film, leur support, leur conditions d’apparition, et de disparition (j’étais loin de penser que la pellicule elle-même disparaitrait !). Que des figures et des lieux filmés depuis un siècle puissent refaire surface sous un autre visage et en d’autres temps n’est pas fait pour me déplaire. Que j’ai pu fixer leur rencontre hasardeuse avec les maladies qui affectent leur support me satisfait pleinement. Que ces images aient une beauté, une étrangeté et une force est de surcroit : la grâce tombe où elle veut.
Eric Rondepierre
[1] La phrase est de Georges Bataille, L’Histoire de l’érotisme, O.C. VIII, Paris, Gallimard, 1976
BeSpoke Collection N° 1 “The mark of Time”, by Eric Rondepierre
Limited edition of 250 copies with an 15,3 x 18,5 cm C Print signed by the author. Hard cover, cloth binding, size 210mm x 280mm, on printing!
The Mark of Time
Cinema was born in 1895. In 2015, the original device has disappeared – such is the world, techniques vanish and others emerge: “There is no doubt that death is the youth of the world.”* I initiated my cinematic research at a transitional moment, in 1990, and started to present it in 1992. In 1993 in Washington (USA), I started a series of photographs figuring photograms of films corroded by the passing of time and storage condition, which was exhibited in New York two years later at MoMA. Since then, I have been watching films in Western film libraries and private collections, harvesting “decomposed” images affected by the passing of time. Without retouching them, I select the improbable and rare ones, those on which the marks of time enter in dialogue with the image to the point where it becomes difficult to distinguish between the actual image and its destruction process. Jean Cocteau claimed that cinema filmed “death at work”. It seemed interesting to identify death at work at the core of the medium, within the material and invisible layer allowing us access to the film: the reel. So I ventured through cinema, with great patience – it takes fifteen days, eight hours a day, to watch a feature film frame-by-frame –, reflecting upon the instability of film archives, their support, the conditions of their appearance and disappearance (I was far from imagining that the proper reel could vanish!). I fancy the idea that figures and locations filmed a century ago resurface differently at other times and that I was able to capture this hazardous encounter with the ills affecting the medium. Furthemore, the fact that these images exhale beauty, strangeness and intensity is a nice complement: grace befalls anywhere.
Eric Rondepierre
* In Georges Bataille, L’Histoire de l’érotisme, Œuvres Complètes, Tome VIII, Paris, Gallimard, 1976.
Le 14e Mois de la photo à Montréal Les artistes et l’iconocratie La condition postphotographique, reflet d’une époque d’images by Jérôme Delgado – Collaborateur | Arts visuels
En 1989, lorsque le Mois de la photo à Montréal a vu le jour, il fallait affirmer la valeur de la photographie, jusque-là trop souvent considérée comme un art de second ordre. Vingt-six ans plus tard, la 14e édition d’un événement qui se présente désormais comme la « biennale internationale de l’image contemporaine » rajuste le tir. L’ère de la photo canon est désuète, nous voici dans la postphotographie. Les temps changent.
C’est sous le thème de la « condition postphotographique » qu’ont été sélectionnés 25 artistes ou collectifs de 11 pays. L’artiste et auteur catalan Joan Fontcuberta est le responsable de cette mise au point, qui s’inscrit dans une mouvance plutôt récente — Après la photographie ? était le titre du Forum de l’image de Toulouse, en 2006. Les choix du commissaire invité sont à découvrir, à compter de jeudi, aux quatre coins de la ville. Musées, maisons de la culture, galeries, centres d’artistes : après 26 ans et 14 éditions, les manières de faire demeurent les mêmes au Mois de la photo.
Les temps, eux, ont changé, et pour refléter ceux qui ont favorisé l’éclosion de la vie numérique, Joan Fontcuberta, rencontré à une semaine du début de la fête, se montre imagé : « Une météorite est tombée, elle a modifié le climat et il a fallu s’adapter. » En termes de photographie, ça s’est traduit par une plus grande accessibilité aux caméras, par une plus grande circulation des images et par leur présence continuelle dans nos routines.
La condition postphotographique vient avec un fait notoire. L’image photo, de moins en moins précieuse, a perdu en qualité. Une sorte de justice équitable s’est opérée : dans la masse de clichés, tout se vaut.
« La photographie est passée du statut d’écriture à celui de langage. Auparavant, il fallait être cultivé pour pouvoir lire les images. Aujourd’hui, tout le monde s’exprime à travers elles, dit Fontcuberta, observateur des technologies de longue date. L’image prévaut par-dessus [le sujet photographié]. J’appelle ça l’iconocratie. Il y en a qui diront que c’est une démocratie, d’autres, une dictature. »
L’agora idéale
Joan Fontcuberta ne tranche pas. Son travail, croit-il, consiste davantage à offrir matière à débat, et le Mois de la photo en est l’agora idéale. Les artistes qu’il a sélectionnés ont l’acuité de pointer des situations délicates.
Laia Abril, l’Espagnole de la cuvée 2015 — « Catalane », précise le commissaire — se penche sur le cas de l’anorexie, une problématique devenue sujet d’égoportraits. Son projet Thinspiration (2011-2015), emblématique de la postphotographie, scrute des blogues où, selon Fontcuberta, « la construction de l’identité passe par la destruction du corps ».
Devant le constat de défunts présents dans les réseaux sociaux, le collectif montréalais After Faceb00k travaille sur la mort et le deuil. L’installation À la douce mémoire (2015) « pointe les nouvelles topologies, comme celle d’égoportraits devant le cercueil d’un proche », note encore le commissaire.
À l’instar d’Abril et d’After Faceb00k, beaucoup des artistes retenus puisent dans le puits sans fond qu’est le Web. Y compris des artistes phares de « l’image contemporaine », comme le Vancouvérois Roy Arden, présent avec le diaporama de 28 144 photos The World as Will and Representation (2007). Dina Kelberman, artiste de Baltimore, proposera I’m Google, un travail entamé en 2011 et basé sur le principe de la réaction en chaîne, sans fin.
Accro à Internet
« Je choisis des images qui ont un mouvement particulièrement séduisant. I’m Google n’a pas de fin — à moins que ce soit pour dire qu’on défile jusqu’en bas de la page », écrit celle qui se qualifie, dans un court échange par courriel, de « terrible accro à Internet ».
Kelberman est le prototype de l’artiste d’aujourd’hui, qui organise et non qui crée du matériel complètement nouveau. La paternité d’une oeuvre et, en particulier, la question du droit d’auteur sont parmi les acquis que la météorite Internet a bousculés.
Il n’y en aura pas que pour le Web dans le 15e Mois. Des projets presque plus traditionnels seront aussi de la partie, comme celui du Montréalais Roberto Pellegrinuzzi, qui a photographié pendant un an tout ce qui l’entourait. Résultat : une installation inédite, Mémoires, d’un quart de million d’images.
« Le postphotographique ne concerne plus que la photographie numérique, comme ce l’était dans les années 1990 [alors que des chercheurs comme le Québécois David Thomas parlaient déjà de postphotographie]. Les années 2000 sont celles du boom de la téléphonie mobile, de la consolidation d’Internet, de l’apparition des réseaux sociaux, toute une série de dispositifs technologiques », fait remarquer Joan Fontcuberta.
De là le choix du commissaire pour le reportage caméra à la main de Liam Maloney. L’artiste natif de Montréal, aujourd’hui établi à Toronto, a documenté des réfugiés syriens, dont les communications par texto demeurent le dernier salut.
Le territoire, réel comme affectif, est une autre réalité réévaluée par la condition postphotographique. Andreas Rutkauskas, Montréalais né à Winnipeg, a exploré ce changement avec un projet qui juxtapose ses images à celles de Google Maps. Le Suisse Jacques Pugin, photojournaliste d’expérience, s’est tourné vers Google Earth pour réaliser Les cavaliers du diable (2009-2013), série sur des conflits autrement inaccessibles.
Le postphotographique scelle-t-il le sort de la photographie d’antan ? Non, estime Joan Fontcuberta, car il y aura toujours des « photosaures » (son terme), aussi nostalgiques que ceux qui préfèrent le cheval à l’automobile. Il sait de quoi il parle : avant de quitter Barcelone pour Montréal, il travaillait… dans sa chambre noire.
here the link: http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/449241/le-14e-mois-de-la-photo-a-montreal
Les députés ne veulent pas étiqueter les aliments issus d’animaux nourris aux OGM par Emilie Massemin (Reporterre.net)
Tard dans la soirée de mercredi 16 septembre, l’Assemblée nationale a rejeté deux amendements déposés par les députés écologistes, et qui proposaient l’étiquetage obligatoire des produits issus d’animaux nourris aux OGM, et l’interdiction d’utiliser des OGM pour l’alimentation des élevages. Ceci, alors que 200 000 citoyens viennent de lancer la campagne « transparence OGM » pour une meilleure information des consommateurs.
Les étiquettes « nourri aux OGM » sur les barquettes de côtelettes de porc ou de steak du supermarché, ce n’est pas pour tout de suite. Pourtant, si les cultures génétiquement modifiées sont interdites en France, « les OGM présentent une part significative de l’alimentation de près de 80 % des élevages, selon les professionnels du secteur », assurent les députés écologistes dans un communiqué. Sont particulièrement visés « [le] soja et [le] maïs NK603 associés à l’herbicide Roundup, importés des États-Unis et d’Amérique latine ».
L’amendement de Brigitte Allain, députée Europe Écologie Les Verts (EELV) de la Dordogne, au projet de loi « portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne dans le domaine de la prévention des risques » (voir ici, demandait l’étiquetage systématique des viandes, charcuteries, laits, œufs, beurres, fromages et plats cuisinés issus d’animaux d’élevage nourris aux OGM.
Il a été rejeté mercredi 16 septembre, tard dans la soirée, au terme de « débats polis et respectueux », indique Mme Allain à Reporterre. Présenté par la ministre de l’Écologie Ségolène Royal le 15 juillet dernier, ce texte législatif transpose au niveau national, entre autres, la directive européenne 2015/412 concernant la possibilité pour les États membres de restreindre ou d’interdire la culture d’organismes génétiquement modifiés (OGM) sur leur territoire.
Une pétition lancée pour la “transparence sur les OGM“
La députée avait par ailleurs demandé que le gouvernement remette un rapport sur l’opportunité de l’étiquetage obligatoire des produits alimentaires issus d’animaux nourris aux OGM, et que les aliments génétiquement modifiés soient carrément interdits dans l’alimentation des élevages. Ces deux amendements ont également été rejetés par l’Assemblée nationale.
La pression sociale est pourtant forte : un rassemblement de 200 000 citoyens, Consommateurs mais pas cobayes !, a lancé lundi 15 septembre une seconde campagne baptisée « transparence OGM » assortie d’une pétition, réclamant l’étiquetage obligatoire des produits alimentaires issus d’animaux nourris aux OGM.
Mais le rejet à l’Assemblée ne constitue qu’une demi-suprise. Les propositions d’amendement avait déjà toute été rejetées par la Commission du développement durable et de l’aménagement du territoire, le 9 septembre dernier. Sur l’étiquetage des produits alimentaires, la rapporteure Viviane Le Dissez (Parti socialiste) a argué en séance que et amendement était « typiquement hors du cadre de ce projet de loi de transposition sur la prévention des risques. Nous en avons discuté dernièrement avec les agriculteurs, l’étiquetage de la viande française relève du niveau européen. Cette disposition nous placerait donc en infraction vis-à-vis du droit européen ».
Même réponse concernant l’interdiction de nourrir les animaux avec des OGM. De fait, le 22 avril dernier, la Commission européenne a proposé une modification du règlement 1829/2003 concernant les denrées alimentaires et les aliments pour animaux génétiquement modifiés, qui permettrait aux Etats membres d’interdire ce type d’alimentation. Ce projet devrait être voté par la commission Environnement du Parlement européen les 12 et 13 octobre, puis par le Parlement européen réuni en plénière les 26 et 29 octobre, selon le site de veille citoyenne Inf’OGM.
« C’est le rôle des parlements nationaux d’émettre des avis forts »
Pour Brigitte Allain, ces arguments ne sont pas recevables : « On a fait la même réponse à Germinal Peiro [député socialiste de la Dordogne, NDLR] quand il a réclamé un étiquetage de la viande ’élevée et abattue en France’. Mais finalement, l’Assemblée nationale s’était rangée derrière lui. C’est au niveau des États qu’on peut pousser l’Union européenne à évoluer. C’est le rôle des parlements nationaux d’émettre des avis qui sont forts pour qu’ils soient pris en compte au niveau européen. » Concernant de tels sujets, la députée estime qu’un raisonnement en termes de respect des règles européennes et de la concurrence n’est pas souhaitable, car « ce n’est pas le droit à la concurrence qui préoccupe le plus les citoyens, mais le droit à la préservation de l’environnement et à la santé. »
Pour Brigitte Allain, la défense de ces amendements et la loi en elle-même, qui autorise pourtant les Etats qui le souhaitent à interdire la culture d’OGM, ne sont que des pis-aller. « Cette directive européenne, nous sommes contre, tranche la députée. Cela ne correspond pas au principe européen que des Etats puissent accepter une option, et d’autres la rejeter. » Mercredi soir, les écologistes ont ainsi refusé de voter pour la transposition de la directive européenne.
Reste qu’il faut parer au plus pressé : « Il y a dix ans, quand je militais au sein de la Confédération paysanne et des Faucheurs volontaires, j’étais contre l’étiquetage des OGM car cela actait le fait qu’on les avait acceptés. Mais aujourd’hui, les citoyens mangent des OGM sans le savoir. Il faut qu’ils puissent être informés, pour pouvoir éventuellement refuser d’acheter ces produits. » Avec un objectif à terme : « Pousser les Etats et les firmes à abandonner les OGM. »
herre the link: http://reporterre.net/Les-deputes-ne-veulent-pas-etiqueter-les-aliments-issus-d-animaux-nourris-aux
Braga Photo festival: “New Visions of Chinese Photography: Poems & Collections” Ren Hang, Bessard Collection & Lin Zhipeng (nº223)
Opening of the exhibition: “New Visions of Chinese Photography: Poems & Collections” Ren Hang, Bessard Collection & Lin Zhipeng (nº223)
REN HANG is a young photographer, poet and provocative, who explores the possibilities of the body through an extrovert and joyful sexuality, producing perfect photographs on a spontaneous and creative way, which form audacious and funny sculptures of the human body.
EDITIONS BESSARD will present a considerable part of their magnificent collection of books and objects, which reveal the endless narratives that serve as motto for a journey through the myths and visions oh the new Chinese photography.
LIN ZHIPENG (also known as “No. 223”) introduced by Pierre Bessard, reveals an intimate dis-course, looking to highlight the singular essence of the Chinese youth in portraits, dazzled by the light and by sharp contrast, imposing an attractive idyllic drama.
REN HANG’S SITE:
EDITIONS BESSARD’S SITE:
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LIN ZHIPENG’S SITE:
EXHIBITION INFORMATION:
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OPENING POWER WEEK:
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9 Spots You Need to Visit as a Photographer in Amsterdam
Introduction
Amsterdam has been a hub for bohemian lifestyles for years now, occupying a special place in the hearts and minds of the world’s creative types. Something you may not know about the city, however, is that it is an especially great place to be as a photographer or appreciator of the photographic arts! You might need some help navigating through the city’s many alleys and canals to find the very best photo destinations, so we’ve put together a list of our favorite spots for photographers in town!
Here is ONWARD’s list of 9 spots for any photographers traveling to Amsterdam…
International Organization Focused on Photography
Underneath Foam is an ocean full of programming geared specifically towards photography, including exhibitions, publications, and educational projects. Indeed, its aim is to become a truly international organization with events held abroad. Visitors can witness the breadth of its offering by visiting its Amsterdam museum which contains “all facets of the photographic medium” throughout various periods, from contemporary to historical. It averages 16 shows a year, so visitors can always expect to find a fresh exhibit. Over 200,000 people a year visit the facilities at the canal side location on the Keizersgracht, making it the most popular museum in all of the Netherlands. In addition, Foam also publishes its own magazine showcasing both well-known and emerging photographers.
“Informs and inspires the widest possible audience by presenting all facets of contemporary photography”
Related Links:
- Foam
Leading Fine Art Photography by Dutch Talent
With both an online presence and an exhibition gallery, Seelevel aims to provide the best in fine art photography. With its focus on cutting-edge photography, the curators Manon Funcke and Caroline O’Breen, themselves both movers and shakers in the art industry, hope to expand the art form into a myriad of possibilities for transforming both the medium and the message. Mutimedia installations, collage, sculpture, and conceptual art are just some of the possibilities that can use photography as the starting point. As a platform for emerging avant-garde artists, the gallery aims to showcase their work to a larger audience.
“Seelevel can be seen as the trendsetter in the Netherlands”
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- Seelevel
A Staple of the Photography Community
Along with its permanent collection of modern photography from national and international artists, the museum also has various exhibitions held throughout the year. Housed in a former residence built in 1665, the museum also features elaborate interior stucco work, ceiling paintings, a garden house, and coffee bar. The gorgeous view of the garden can be seen from the library at the back of the museum. Visitors can peruse through a variety of material, including contemporary and classic photobooks, monographs by Dutch and international photographers, and books on photographic theory and history. The photobook collection in particular hopes to highlight not only the works of the photographer alone but also the photobook itself with its unique physical characteristics.
“Focuses on a specific visual language and is characterized by a passionate spirit of inquiry”
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- Huis Marseille
Where Photobooks Are Conceived, Born, and Nurtured
Situated close to Dam Square, an historical and lively town square, PhotoQ bookstore not only has the latest photobooks, but also organizes workshops, book signings, and lectures. Edie Peters, founder, exhibition curator and photographic maestro in his own right, is well connected in the photography industry with an extensive body of work as a writer and critic, including his contributions to the photography news website photoq.nl. Recently, PhotoQ began offering workshops on bookmaking which “will guide the way to enthusiasts of photo books from a raw idea to a successful published photobook.” There is no better venue than the Netherlands with its rich history of book design! Notable instructors conducting these workshops include Hans Gremmen, an established graphic designer, and lithographer Sebastiaan Hanekroot.
“PhotoQ needs to adapt constantly to the always changing world of photography.”-Founder Edie Peters
Leading Analogue Photography Store
The store has been serving Amsterdam photographers since 1950 and offers a great variety of supplies and equipment, particularly for analogue photography enthusiasts looking to restock their darkrooms. For visitors looking for expert advice on cameras or film, look no further than the shop owner himself, Ton, a walking encyclopedia of all things photographic. On selected equipment, the store also offers rentals to allow hesitant buyers to try it out before making the purchase.
“Almost everything you need to practice your hobby or profession.”
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- Foto Den Boer
Gallery with Concept Photography at its Heart
Established in 1989, this gallery is dedicated to showcasing books from both established and emerging conceptual photographers who strive to interact with society through various methods, including giving public talks and showing off their works through gallery exhibitions, art fairs, and digital mediums. The gallery aims for a “conceptual and research-oriented artistic approach” and focuses on the gallery more as a public forum for photographic discourse rather than a commercial enterprise.
“Photography’s just a playground for me. I’m not a photographer at all.” –Conceptual Artist Edward Rushcha
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- Johan Deumens Gallery
Small Press Devoted to Artists’ Books
With over 7000 titles of self-published or small press books, the bookstore itself is a work, or rather “sculpture”, in progress for its owners who also have their own thriving careers in the arts. They publish 3-4 titles a year and often participate in major books fairs across the world, in cities like London, Frankfurt, and New York. The store also has its own gallery space where it holds regular readings and exhibitions. Of particular interest is the “Diary” on the website, a day-to-day account of one of the owners as a book seller, dating back to the year 2000. In one entry, Rúna poetically recalls her homeland: “My surrogate for Iceland is a small wooden cabin in the back yard.”
“The entirely self-financed enterprise is Europe’s, if not the world’s, venue for artists’ books.”
Related Links:
- Boekie Woekie
Where New Ideas are Illuminated
With the various cultural events and activities taking place, including the local goods market, cultural festivals, and meetings on sustainability, The Silent Warehouse is anything but. For photographers, the re-converted warehouse is also home to “The Dark Room” where once a month Dutch and international photographers are interviewed regarding their latest projects. In the past, guests have included Hellen van Meene, Phillip Toledano, and Awoiska van der Molen, among other prominent figures in photography. In addition, photographers have an opportunity to pitch their new project ideas to the audience who get to vote on their favorite idea. The one with the highest number of votes receives start-up money (allocated from the entrance fee for the event) to fund their respective projects. Finally, a talk is given about the technical side of photography such as how to choose the right equipment. De Donkere Kamer is a co-production of DuPho (Dutch Professional Photographers) and Pakhuis de Zwijger.
“The Dark Room draws you into the world of photography.”
Related Links:
- De Donkere Kamer (The Dark Room)
- Dutch Professional Photographers
Photography Festivals Abound
A slew of prominent festivals take place in Amsterdam throughout the year. Unseen Photo Fair, held in September, involves 54 international galleries and showcases the latest trends in contemporary photography showing everything from emerging artists to yet-to-be-seen work by established masters. It also offers a venue for lectures, debates, and a book market. World Press Photo, founded in 1955, has its roots in Amsterdam, but since then has exploded onto the world stage with local exhibitions held in various countries including Australia, Turkey, Japan, and Canada to name a few. With around 100 exhibitions held every year, visitors can find a venue closer to home without having to travel to the Netherlands. Its focus is “visual storytelling to inform and to shape us.” Finally, Amsterdam Art has collaborated with 40 art and cultural centers around the city to promote the best in contemporary photography. A major event, the Amsterdam Art Weekend is held annually in November and is intended for new and young artists wanting to showcase their budding talents. The various venues including participating galleries and museums offer special exhibitions, performances, screenings, and active dialogue.
“Great things are done by a series of small things brought together.” -Vincent Van Gogh
Related Links:
Here the link;http://onwardphoto.org/amsterdam-9-spots/?utm_campaign=amsterdam-9&utm_medium=fb-group&utm_source=flak_photo_books
BusinessInsider: 46 photos of life at a Japanese internment camp, taken by Ansel Adams, text by Brian Jones
While the US celebrates Victory Over Japan Day September 2, let’s not forget the suffering of about 110,000 Japanese Americans who were forced to live in internment camps.
Even at the time, this policy was opposed by many Americans, including renowned photographer Ansel Adams, who in the summer of 1943 made his first visit to Manzanar War Relocation Camp in the Sierra Nevada Mountains.
Invited by the warden, Adams sought to document the living conditions of the camp’s inhabitants.
His photos were published in a book titled “Born Free and Equal: The Story of Loyal Japanese-Americans” in 1944, with an accompanying exhibition at the Museum of Modern Art.
In 1965, when he donated the images to the Library of Congress, Adams shared some thoughts on the project:
“The purpose of my work was to show how these people, suffering under a great injustice, and loss of property, businesses and professions, had overcome the sense of defeat and dispair [sic] by building for themselves a vital community in an arid (but magnificent) environment,” he said.
Here the link: http://uk.businessinsider.com/ansel-adams-internment-camp-photos-2013-8?r=US&IR=T