Posted on Leave a comment

have you got your Signed Copy? #EdTempleton #AdventuresInThe NearbyFarAway, few available, #LimitedEdition #ArtOfPerfection #EditionsBessard #AccordionBook

ed templeton 5
Be Street : Bienvenue Ed. Parles nous du concept de ta dernière œuvre “Adventures in the Nearby Far Away”?

EXTRAIT BE STREET: Adventures in the Nearby Far Away est un journal photographique de mes nombreuses visites à Catalina Island sur la côte sud de la Californie. Je viens ici depuis que je suis tout petit et je prend des photos de cet endroit depuis les années 90. Toutes les photos son analogues. Les Editions Bessard m’ont proposé d’en faire un livre dans ce style. Au début, j’étais sceptique parce que je ne suis pas fan du format accordéon. Puis je me suis mis à réfléchir au type de projet qui pourrait s’adapter à ce format. Et c’est là que je me suis rappelé de cette série de photos prises à Catalina et que j’avais prévue de publier sous forme de fanzine. J’avais fait des collages avec les dizaines de photos prises de l’horizon. Et en fait, ce format s’est avéré être parfait pour ce genre de collages car je pouvais montrer le collage en entier sur une page continue.

B.S : Selon quels critères as-tu fait la sélection des photos pour ce projet ?

Je voulais en faire un journal photos mais rien de trop personnel. On se fiche de voir des photos de ma femme et de mes amis tout sourire pendant les vacances. Le but etait de montrer cet endroit. Les gens, le paysage, les légendes urbaines d’un endroit lourd d’histoire. Un endroit que mes grands-parents fréquentaient pendant leur jeunesse.

B.S : Quel est ton souvenir le plus cher de Santa Catalina ? Tu te rappelles de ta première visite sur l’île ?

Oui, je partage une histoire d’enfance dans le livre. Mes plus beaux souvenirs sont avec mes grands-parents. Ils louaient une maison pour une semaine chaque année. Ils nous racontaient tout ce qui avait changé au cours des années. On prenait le bateau tous les matins pour explorer les environs. Mon grand-père était un matelot et adorait être en mer. Je me rappelle des bateaux de pêches qui revenaient sur la plage après leur pêche à l’espadon. C’était choquant de voir ces belles créatures accrochées tout sanglotant, je n’oublierais jamais.

THE LINK BE STREET http://www.be-street.com/fr/cartes-postales-de-santa-catalina-une-conversation-avec-ed-templeton/

Posted on Leave a comment

Upcoming exhibition in Berlin on PiB (Photography In Berlin) Luo Yang “GIRLS” Zine Collection No. 24 Limited Edition of 300 copies with a C-print signed by the artist

Luo Yang’s GIRLS belong to a part of contemporary China that is rarely taken note of in the West. Her portraits depict an emerging Chinese subculture that defies imposed expectations and stereotypes – GIRLS are bad-assed and self-aware, yet insecure, vulnerable and torn, with a supreme sense of cool. Beijing-based artist Luo Yang photographs the girls around her, attempting to grasp an understanding of their lives as well as her own. Although different, they share the same ambivalent emotions, confusions and concerns. It is in that connection that Luo finds the strength and fragility of her subject. Her images are bold and up-front, intimate and sensitive at the same time. They explore the themes of youth and femininity, while challenging traditional beliefs about women in Chinese society. As such, Luo’s GIRLS reflect a view on life in China that both celebrates and defies its reality.MG_1857

Luo Yang, born 1984 in Liaoning, China, is a freelance photographer living and working in Beijing & Shanghai. In 2012, Ai Weiwei designated her one of the “rising stars of Chinese photography” (New Statesman). She has had exhibitions all over China and participated in major shows in Europe, amongst them Ai Weiwei’s “FUCK OFF 2” at the Groninger Museum, Netherlands, in 2013. In her work, highly staged portraits and carefully constructed poses alternate with a raw, blurred snapshot-aesthetic.

An exhibition brought to you by MO-Industries, a POP-UP gallery project staging cultural exchange between Asia and Germany.

Opening: Friday, May 20, 2016, 19-23:30h (Facebook Event)
Exhibition: May 21 – June 5, 2016
Opening hours: Tue-Sat 13-20h
Admission free
HERE THE LINK http://www.photography-in.berlin/mo-industries-luo-yang-girls/

Posted on Leave a comment

#EdTempleton, #“AdventuresInThe NearbyFarAway” #SignedCopy available, #Photography #USA #LimitedEdition #ArtOfPerfection #EditionsBessard #AccordionBook

Be-Street the Magazine, interview of Ed Templeton by Valeria Giampietro L’artiste et skateur pro Ed Templeton nous présente son dernier projet photobook – “Adventures in the Nearby Far Away”. By Valeria Giampietro HERE THE LINK: http://www.be-street.com/fr/cartes-postales-de-santa-catalina-une-conversation-avec-ed-templeton/
B.S : Selon quels critères as-tu fait la sélection des photos pour ce projet ?

Je voulais en faire un journal photos mais rien de trop personnel. On se fiche de voir des photos de ma femme et de mes amis tout sourire pendant les vacances. Le but etait de montrer cet endroit. Les gens, le paysage, les légendes urbaines d’un endroit lourd d’histoire. Un endroit que mes grands-parents fréquentaient pendant leur jeunesse.

B.S : Quel est ton souvenir le plus cher de Santa Catalina ? Tu te rappelles de ta première visite sur l’île ?

Oui, je partage une histoire d’enfance dans le livre. Mes plus beaux souvenirs sont avec mes grands-parents. Ils louaient une maison pour une semaine chaque année. Ils nous racontaient tout ce qui avait changé au cours des années. On prenait le bateau tous les matins pour explorer les environs. Mon grand-père était un matelot et adorait être en mer. Je me rappelle des bateaux de pêches qui revenaient sur la plage après leur pêche à l’espadon. C’était choquant de voir ces belles créatures accrochées tout sanglotant, je n’oublierais jamais.

Posted on Leave a comment

#EdTempleton, #“AdventuresInThe NearbyFarAway” #SignedCopy available, #Photography #USA #LimitedEdition #ArtOfPerfection #EditionsBessard

Publié aux Editions Bessard, son livre plié en accordéon est un journal intime tout en photos dédié à l’ile de Santa Catalina en Californie. L’œuvre reprend un élément essentiel de son travail : l’espace qui nous entoure. Ainsi, l’artiste se sépare – ne serait-ce que pour un moment – de son sujet favoris qu’est l’humain pour se tourner vers le paysage environnant, le compagnon silencieux d’une série d’aventures aussi belles qu’imprévisibles que la mer bleue qui se perd dans l’horizon. Nous avons rencontré Ed pour en savoir plus sur ce projet…

Here the link: http://www.be-street.com/fr/cartes-postales-de-santa-catalina-une-conversation-avec-ed-templeton/

Posted on Leave a comment

Be-Street the Magazine, interview of Ed Templeton by Valeria Giampietro L’artiste et skateur pro Ed Templeton nous présente son dernier projet photo au cœur de Santa Catalina – “Adventures in the Nearby Far Away”. By Valeria Giampietro HERE THE LINK: http://www.be-street.com/fr/cartes-postales-de-santa-catalina-une-conversation-avec-ed-templeton/

De quoi parle t-on lorsque l’on évoque la beauté ? Pour Ed Templeton, la réponse à cette question est très simple : la beauté est un moment, une unité temporelle infime remplie de désirs, d’émotions et de promesses tenues. Elle se retrouve dans tous les clichés de Templeton. Que ce soit dans les résidus de poussières emportés par le vent ou dans les lignes parfaites d’un visage marqué par une émotion évasive. Les portraits d’amour, de paix et de beauté de l’artiste retentissent dans le monde en se fondant dans son mécanisme bruyant. Le résultat est une certaine tendresse émotionnelle qui bat de l’aile comme un kolibri.

Ed Templeton est un athlète mondialement reconnu, un peintre, un photographe, mais c’est avant un tout un compteur d’histoire extraordinaire car il observe la vie dans tout ce qu’elle a de plus riche et d’intense. Ses nombreux livres, catalogues et zines sont des témoins de la complexité (et vulnérabilité) de la nature humaine. Sa dernière publication intitulée « Adventures in the Nearby Far Away » représente une pièce manquante fascinante de sa recherche photographique.

Publié aux Editions Bessard, son livre plié en accordéon est un journal intime tout en photos dédié à l’ile de Santa Catalina en Californie. L’œuvre reprend un élément essentiel de son travail : l’espace qui nous entoure. Ainsi, l’artiste se sépare – ne serait-ce que pour un moment – de son sujet favoris qu’est l’humain pour se tourner vers le paysage environnant, le compagnon silencieux d’une série d’aventures aussi belles qu’imprévisibles que la mer bleue qui se perd dans l’horizon. Nous avons rencontré Ed pour en savoir plus sur ce projet…
ed-templeton-santa-catalina-interview-4
Be Street : Bienvenue Ed. Parles nous du concept de ta dernière œuvre “Adventures in the Nearby Far Away”?

Adventures in the Nearby Far Away est un journal photographique de mes nombreuses visites à Catalina Island sur la côte sud de la Californie. Je viens ici depuis que je suis tout petit et je prend des photos de cet endroit depuis les années 90. Toutes les photos son analogues. Les Editions Bessard m’ont proposé d’en faire un livre dans ce style. Au début, j’étais sceptique parce que je ne suis pas fan du format accordéon. Puis je me suis mis à réfléchir au type de projet qui pourrait s’adapter à ce format. Et c’est là que je me suis rappelé de cette série de photos prises à Catalina et que j’avais prévue de publier sous forme de fanzine. J’avais fait des collages avec les dizaines de photos prises de l’horizon. Et en fait, ce format s’est avéré être parfait pour ce genre de collages car je pouvais montrer le collage en entier sur une page continue.

B.S : Selon quels critères as-tu fait la sélection des photos pour ce projet ?

Je voulais en faire un journal photos mais rien de trop personnel. On se fiche de voir des photos de ma femme et de mes amis tout sourire pendant les vacances. Le but etait de montrer cet endroit. Les gens, le paysage, les légendes urbaines d’un endroit lourd d’histoire. Un endroit que mes grands-parents fréquentaient pendant leur jeunesse.

B.S : Quel est ton souvenir le plus cher de Santa Catalina ? Tu te rappelles de ta première visite sur l’île ?

Oui, je partage une histoire d’enfance dans le livre. Mes plus beaux souvenirs sont avec mes grands-parents. Ils louaient une maison pour une semaine chaque année. Ils nous racontaient tout ce qui avait changé au cours des années. On prenait le bateau tous les matins pour explorer les environs. Mon grand-père était un matelot et adorait être en mer. Je me rappelle des bateaux de pêches qui revenaient sur la plage après leur pêche à l’espadon. C’était choquant de voir ces belles créatures accrochées tout sanglotant, je n’oublierais jamais.

ed-templeton-santa-catalina-interview-5
ed-templeton-santa-catalina-interview-5
B.S : Y a t-il un endroit sur l’île qui te tient particulièrement à cœur ?

La ville d’Avalon est toute petite, 1 km carré tout au plus. Cela lui confesse un charme digne d’une bourgade italienne. Mon endroit préféré est le Frog Rock au nord du village. C’est un énorme roché qui jailli de l’eau à 50 m de la plage. On adore y attacher notre bateau, nager vers le rocher, monter dessus et sauter dans l’eau. C’est un droit de passage pour tous ceux que je fais visiter l’île. Tout le monde y passe.

B.S : Si tu devais choisir trois photos de ton livre, tu choisirais lesquelles ? Racontes nous l’histoire qui se cache derrière ces photos.

J’essaie de me rendre à Catalina tous les ans en juillet pour mon anniversaire. J’invite un maximum d’amis. Sur la photo on voit mon ami Griffin ensevelit de galets qu’on lui a gentiment posé dessus. On s’éclate à nager, faire des randonnées, escalader le plus possible et c’est toujours l’éclate avec lui.

Griffin with Rocks on back Catalina
ed-templeton-santa-catalina-interview-1
ed-templeton-santa-catalina-interview-2
C’est une photo de ma nièce Sophia lors d’un camping à Two Harbors. Elle explore les bassins le long de la côte. Catalina est un paradis pour les enfants et j’adore inviter des amis sur l’ile pour leur montrer à quel point cet endroit est magnifique.
ed-templeton-santa-catalina-interview-3
Un phoque et le Casino de Catalina

Sur cette photo on voit l’épique casino de Catalina avec un phoque qui se repose sur une bouée. C’est si près de Los Angeles et assez loin à la fois pour que la nature se mélange avec les gens et la ville.

B.S : C’est quoi l’aventure pour toi ?

L’aventure commence quand je sors de chez moi.

B.S : Ton travail se focalise avant tout sur les gens que tu observes. Ce projet ne fait pas l’exception sauf que pour ce projet, le paysage est bien plus qu’une toile de fond. Il prend vie, est habité de créatures des mers et d’oiseaux, on y voit la plage, les rochers et des arbres en tous genres…

Oui c’est exact. Je ne suis pas particulièrement fan de ce type de photos en général. Je shoote des personnes qui représentent la nature humaine. Mais pour ces clichés de Santa Catalina, les individus sont secondaires. L’endroit est magique, je voulais capturer la lumière tomber sur ce paysage magnifique. La robustesse de la terre, le côté vierge du paysage, on s’imagine que toute la Californie était ainsi avant que les Européens ne débarquent. Je voulais montrer la nature, l’architecture et notre interaction avec le paysage de cet endroit.
ed-templeton-santa-catalina-interview-6
B.S : Ca te dirait de faire une livre dédié uniquement à ces paysages naturels ?

Non ! Enfin il ne faut jamais dire jamais. J’avoue qu’il m’arrive de shooter uniquement des paysages sans individus dedans. Je ne connais qu’un seul photographe qui photographie uniquement des paysages et c’est Ansel Adams, mais ça ne me dit rien. Peut-être que je sortirais un jour un tel livre mais rien de moins sûr.

B.S : Quel type de matériel as-tu utilisé pour tes clichés de Santa Catalina ?

J’ai pris ma Leica M6 mais pour mes aventures en mer, j’ai préféré prendre ma Canon AE-1. Il m’arrivait de nager du bateau sur la cote camera en main en essayant de la tenir hors de l’eau. Aujourd’hui j’ai un boitier waterproof qui s’adapte à la Leica et à la Canon. La plupart des photos a été prise avec un objectif de 50mm, parfois un 35mm. Pour les pellicules, j’ai utilisé des Kodak Tri-X B&W film et Kodak Portra pour la couleur, à quelques exceptions près.

B.S : Tes clichés sont souvent accompagnés de notes écrites à la main ce qui leur confère une certaine qualité narrative. Parles nous de ces nombreuses notes que l’on retrouve dans “Adventures in the Nearby Far Away”? Est-ce que ce sont des citations, des descriptions ou des observations personnelles ?

Il s’agit de légendes. Un endroit, un nom, parfois une citation. J’aime raconter l’histoire autour de la photo car ça lui donne une autre qualité. Pour les autres, je préfère laisser le spectateur dans le flou pour qu’il interprète lui-même ce qu’il voit. Parfois il faut compléter avec des infos afin de bien faire passer mon intension. J’aurais aimé avoir plus de place pour écrire dans ce livre, mais la façon dont j’ai posé les collages ne laissait pas plus de place pour écrire.

HERE THE LINK OF THE BE-B.S : Quel rôle joue l’écriture dans tes projets photos ?

Je pense que dans l’ensemble, ce n’est pas si important que cela. J’aimerais faire un projet où l’écriture est tout aussi importante que la photo pour chaque image. Mais jusqu’à présent, mes photos pouvaient se passer de textes, je rajoute juste ce qu’il faut d’infos.

B.S : Tu es également un grand collectionneur de livres. Quand est-ce que tu t’es mis à collectionner les bouquins ? Un livre ou une œuvre photographique que tu aimerais suggérer à nos lecteurs ?

J’ai commencé à collectionner des livres dans les années 90. Jai commencé par collectionner les livres d’art et comme je m’intéressais de plus en plus à la photo, je me suis mis à collectionner les recueils photographiques. Ma collection n’a cessée de s’agrandir pendant ces 15 dernières années, je n’ai plus de place ! Un de mes livres préférés de tous les temps s’intitule Raised By Wolves de Jim Goldberg. Également Teenage Lust de Larry Clark, Synthetic Voices de Mark Borthwick, The Lines of my Hand de Robert Frank et David Hockney de David Hockney.
B.S : Quel est le truc qui fait la différence entre une bonne et une très bonne photo ?

L’empathie. Il faut pouvoir être empathique, s’intéresser à son sujet. Si tu es trop empathique, tu ne shooteras jamais personne car tu auras peur de l’offenser. Tu dois avoir le courage de prendre la photo et suffisamment d’empathie pour savoir ce que tu en feras plus tard. Autre élément majeur, la chance. Si tu es un bon observateur, tu peux augmenter ton potentiel d’être au bon endroit au bon moment. Mais il faut savoir saisir les opportunités, être réactif. La bonne photo arrivera au moment où l’on s’y attend le moins.

B.S : Dans un épisode de “Epicly Later’d”, tu demandes à jeune fumeur de joint : « C’est quoi le bonheur ? ». Alors Ed, c’est quoi le bonheur ?

Je crois qu’il m’a répondu « Fumer de l’herbe » ou un truc du genre. Ma reponse est beacuoup plus banale. Le bonheur pour moi c’est de pouvoir créer. J’ai la chance de pouvoir passer beacoup de temps à faire ce que j’aime et ça, ça me rends heureux. Je fais ce que j’aime avec les gens que j’aime.STREET MAGAZINE: http://www.be-street.com/fr/cartes-postales-de-santa-catalina-une-conversation-avec-ed-templeton/

Posted on Leave a comment

#MartinParr introduction text #MaryHamill #SemperAugustus a #PhotoBook to come soon a #LimitedEdition of 250 copies with a #Signed CPrint 13×17.3cm numbered by the author in a elegant #Clamshell box#Photography #ArtofPerfection #FirstBook

We all love tulips. The beautiful flowers we put in vases, witnessing how their petals slowly open to reveal the stunning colours and patterns that are their hallmark. Come late spring, early summer, our living rooms will be brightened by these floral displays, in all shapes and colours. But after a week they start to fade as the petals fall to the ground.
The tulip was introduced into Europe at the end of the 16th century, having been exported from the Ottoman Empire. The Dutch took to the flower and started to grow tulips commercially. So great was the demand for tulips, and the prestige associated with them, the Dutch people were overtaken by what is now known as ‘Tulip Mania.’ Many merchants made a lot of money as the prices of the bulbs escalated at an unprecedented pace, increasing hugely until, eventually, the economic bubble burst in 1637.
Most famous and desirable of all were the bulbs of the Semper Augustus tulip flower, prestigious and beautiful, with distinctive red and white streaky petals. In his famous book on the tulip mania, published in 1841 (‘Popular Delusions of the Madness of Crowds’) the author Charles Mackay explains how one Semper Augustus bulb was exchanged for 12 acres of land. There was also a futures market which collapsed, the first known reference to pre-selling.
The Semper Augustus has retained its position as the most celebrated of all tulips; these are grown and displayed, against fierce competition, in spring flower shows across the globe.
Mary Hamill has created her own version of this famous flower, but with a dreadful and wonderful twist. For these flower like objects turn out to be her own menstrual cycles. She informs us of the date of the month they were created and with the thirteen images takes us through a full calendar year.
Photography has the amazing ability to play tricks and this is one of the most remarkable deceits I have encountered. This trick also has many layers of meaning, almost too subtle to explain here, for these should be explored by the viewer. The Semper Augustus has a very short time to look its best – two weeks at most – but Mary Hamill’s delightful book can outlive the real tulips, and be savoured for many years to come.
Martin Parr

Posted on Leave a comment

#MaryHamill #SemperAugustus a #PhotoBook to come soon with an introduction of #MartinParr a #LimitedEdition of 250 copies with a #Signed CPrint 13×17.3cm numbered by the author in a elegant #Clamshell box#Photography #ArtofPerfection

This is a story about a flower that has made man mad. Greed, desire, anguish, devotion have all played their part… No other flower has ever carried so much cultural baggage; it charts political upheavals, illuminates social behaviour… plots the ebb and flow of religious persecution.
Anna Pavord, The Tulip
er Augustus was a Rosen tulip, but to call it simply a red and white flower would be like describing rubies and emeralds as red and green stones.
Mike Dash, Tulipomania: The Story Of The World’s Most Coveted Flower And The Extraordinary Passions It Aroused

Posted on Leave a comment

Dummy Award Kassel 2016 DUMMY AWARD KASSEL / BEIJING 2016 – ENTRIES NOW OPEN UNTIL 15. MAY!

The Fotobookfestival Kassel invites again all photographers to present their so-far unpublished* photobooks to an international public and to eminent experts. In 2016 the best 50 books will be shortlisted by a pre-jury and will be exhibited at international photo events. From these 50 titles, 3 winners will be chosen by an international jury of experts during the 8. Fotobookfestival Kassel at the Three Shadows Photography Art Centre in Beijing. The winner of the First Prize will be given the opportunity to realize their dummy as a »real« book in cooperation with our production partner, k-books, Germany. The Second Prize is a book production voucher valued at € 500; the Third Prize is a voucher valued at € 300 given by our partner, k-books.

All shortlisted books will be exhibited at the following photo events:
8. Fotobookfestival Kassel / Beijing : 11 June – 3 July
Fotoleggendo, Rome : 10-26 June
PhotoIreland, Dublin : 1-31 July
Fotogalleriet, Oslo : 8-14 September
Organ Vida Festival, Zagreb : 13-21 September
Encontros da Imagem, Braga : 21 September – 5 November
Photobook Week Aarhus, Galleri Image : 29 September – 9 October
IED, Madrid : End of 2016
Format Festival, Derby : 23 March – 23 April, 2017

Who can enter?
Any photographer from around the world who accepts our entry conditions can participate by registering for the competition and submitting an unpublished* work as a book. Registrations will be open from 15 January to 15 May 2016. All self-published books or books published through publishing platforms like blurb can be submitted. Only books published already by a publishing house cannot be accepted. For up-to-date information please subscribe to our email-newsletter.

Guidelines
We require 2 copies of a physical printed book of all the entries sent to us by the photographers/authors. Entries can only be registered online. We charge € 34 per entry and book. There is no limitation to the number of entries per person. If you would like your book to be returned to you, then we will require a further postage and handling charge per entry: within Germany € 8; within Europe € 13; all other countries € 20. Payments can only be made online via our Paypal account during the registration process. Dummies that make the shortlist will be shown during different photo events as announced. Because some of these events take place at the same time, we request two copies of the dummy.
HERE THE LINK: http://fotobookfestival.org/dummy-award-2016/#dafr